L’opération consiste, à proximité d’un château 18e, à construire un foyer de vie de 34 lits (accueillant des personnes handicapées mentales) qui vient clore un ensemble de bâtiments encadrant une cour que l’on rend paysagère par le principe de jardins à la française.

Le parti architectural repose sur la création d’une osmose entre le neuf et l’ancien, en particulier par la prolongation de la couverture en ardoise et l’utilisation d’enduit lissé en réponse à la pierre de Beauce.

Une démarche s’est surtout organisée autour d’une réflexion sur les besoins d’harmonie, de calme et de chaleur des résidents. Simplicité et lisibilité sont traitées par un principe d’« unités de vie » et d’avancées courbes en façade.